informations Nom: Mémé Saki, dite "l'Increvable" avait toujours raconté à la petite blonde d'innombrables histoires sur sa famille. "Ton grand-oncle était un dragon qui a sauvé l'empereur d'une soupe empoisonnée", "...Et c'est comme ça que ton grand-père et moi avons gagné l'immortalité" déblatérait-elle à son unique petite fille à chaque fois qu'elle la voyait. Selon elle, sa famille avait gagné le nom de "UME" après avoir sauvé de la famine l'occident moldu en faisant tomber du ciel des kilos de prunes. Le ministère les avait bien sûr oubliettés, et il n'y avait plus aucune preuve de cet exploit. Mei adorait ses histoires et ne s'en lassait pas; quand bien même selon son père, leur famille tenait leur nom de leur exploitation de fruits abondantes au cours des siècles. même en italique. Prénom: L'étudiante considérait ses parents comme la parfaite histoire d'amour, un vrai classique à la Romeo & Juliet. Etant de races drastiquement différentes, sorcier et vélane, ils n'étaient pas supposés rester ensemble ; et le père n'en avait jamais voulu à son amour de l'avoir abandonnée pour vivre au sein de la meute. Il lui avait été même permis de garder sa plus belle création, le second amour de sa vie, sa fille adorée. Il avait nommé la fille à papa "Mei", car le nom sonnait aussi joli que sa personne pouvait le devenir. Age: En printemps ou en balais, Mei avait 15 ans. Née en début d'année, elle avait toujours été la plus vieille de sa classe – et jamais personne n'aurait pu le deviner. En quatrième année, la jeune asiatique semblait briller dans des matières et racler le bout de son derrière sur les devoirs qu'elle détestait ; tant le contraste entre ces deux résultats étaient choquants. Mei avait du mal à se concentrer, et il fallait dire que construire des lance-flammes en classe n'aidait pas. origines : Mei avait toujours vécu au Japon, et de ce qu'elle connaissait, sa famille n'était pas plus différente. Elle avait toujours grandi dans une grande ville, à Tokyo, même si elle état née dans les bois à l'écart de la meute maternelle ; Ume Mei était une fille de la cité. Elle entendait souvent les gens autour d'elle parler de leurs origines et de leurs vacances, et au fond la blondinette se disait qu'elle aimerait voyager et découvrir le monde – mais elle ne pouvait se résoudre à quitter sa famille et son pays qu'elle chérissait tant. Métier/Etude: La japonaise était en quatrième année à la célèbre école Mahoutokoro. Elle aidait cependant sa famille durant les vacances et la plupart des weekend à la boutique d'électroniques sorcière sur Shimokitazawa, et se trouvait même qualifiée pour cette tâche ; quand bien même son air perdu d'Alice aux Pays des Merveilles ne l'aidait pas d'avantage. C'était son petit secret, mais elle gardait d'ailleurs un pot de papier mâché et une paille de bambou sous le comptoir à côté de la caisse – si jamais les clients se montraient méchants ou insultants envers sa famille adorée. sexualité et situation amoureuse : La jeune Ume était célibataire, quand bien même elle tournait plusieurs têtes sur son chemin. Il fallait dire qu'elle ne se plaignait pas d'être le centre de l'attention, et tel un enfant qu'elle était, elle prenait un malin plaisir à entretenir l'amour que les autres lui offraient. Sa sexualité restait à définir, elle n'avait jamais été vraiment covaincue par aucune étiquette. Les gens la qualifiaient de "lithromantique", car elle ne semblait aimer que ceux qu'elle ne pouvait pas avoir. Race/Don: La mignonnette était une demi-vélane ; et au fond d'elle, en était très fière. Elle adorait l'attention, les lettres d'amour, les bouquets de fleurs... Elle avait appris qu'il était difficile de différencier l'amour qui venait du coeur et l'amour qui venait du don, alors elle prenait les deux à la légère. Son don ne fonctionnait pas toujours sur les adultes, alors elle en abusait sur tous les garnements de son âge... Attention, sans excès. Elle n'aimait pas abuser des personnes gentilles... Enfin, pas trop. Le bien et le mal restaient des notions très subjectives à ses yeux.
Mei avait très faiblement héritée du don de sa grand-mère paternelle également, qui était un don du Troisième Oeil. Effectivement, Mei était capable de lire l'avenir proche (ce qu'il se passera dans deux secondes, deux heures ou deux jours tout au plus) ; mais seulement dans les vieilles disquettes de Donkey Kong 64. Groupe : La grande tête de linotte était une School Enthusiast, sans aucune préférence de maison.

anecdotes Mei parlait anglais depuis son plus jeune âge, mais seulement en langage jeu vidéo "yes", "no", "start again", "game over" qu'elle utilisait dans n'importe quelle circonstance sans le comprendre (pour elle, no veut dire oui et yes veut dire non) Elle avait pris l'option Divination en première année pour faire plaisir à sa grand-mère, mais n'avait jamais osé lui avouer qu'elle était une très mauvaise élève qui énervait énormément les professeurs avec ses satanés disquettes On pouvait la retrouver masquée dans les coins les plus sombres de Tokyo, à prédire ce que ses clients voulaient entendre en échange d'un peu de monnaie ; la plupart de ses prédictions devenaient vraies et pour cause : elle trichait, en ensorcelant ses clients pour qu'ils trébuchent, se retrouvent avec une queue de rat, danse jusqu'à tomber à la renverse... Elle ne reste jamais à la même location plus d'une nuit, et l'argent sert la plupart du temps à lui payer des friandises La blonde ne pouvait s'empêcher de grignoter tout le temps, que ce soit en classe ou dans son sommeil ; elle fait d'ailleurs plusieurs paralysies du sommeil et s'évanouit si elle n'a pas assez de sucre en elle Mei était férue de claquettes, et démontrait ses implacables skills partout où elle allait Elle adorait par-dessus tout les comédies musicales et chantait à tue-tête les trois quart du temps. Elle se faisait donc souvent coller, mais le temps qu'elle pouvait quitter la salle sur un moonwalk elle ne s'en souciai guère L'étudiante adorait croquer dans du savon, depuis que sa grand-mère avait tenté de lui en faire avaler petite après avoir insulté tel un camionneur des passants parce qu'ils refusaient de lui acheter une glace

caractère Confidence Breeds Beauty Il fallait bien l'admettre, Mei était une petite fouine manipulatrice haute comme trois pommes – mais assez parler de ses qualités. En fait, Mei était toujours une enfant ; et celle-ci obtenait toujours ce qu'elle voulait. Son caractère avait d'ailleurs beaucoup souffert de son enfance dorée, et sa confiance en elle-même dépassait la Tokyo Tower. Attention, elle aimait cependant les autres tout autant qu'elle aimait sa propre personne ; mais ne supportait pas qu'on ne se plie pas en quatre pour la satisfaire. Elle ne tombait ainsi qu'amoureuse des personnes qui ne l'aimaient pas, qui ne semblaient pas tomber sous le charme supposément irrésistible de demi-vélane... D'ailleurs, elle ne pouvait pas imaginer un monde rempli de haine. Elle pensait secrètement que ses professeurs l'aimaient et ne voulaient que la signature de ses parents sur ses parchemins pour oser lier contact. Son mâchage de chewing-gum intempestif était désagréable, et ses faux airs de Mlle-Je-Sais-Tout et Je-M'en-Foutiste en fonction de la situation avaient de quoi en déplaire plus d'un... Tant de raisons de l'aimer, n'est-ce pas ?

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